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Pour finir...

Bilan du stage 

Après quatre mois de stage au sein de l’hôtel Pullman Kuala Lumpur Bangsar, il est grand temps d'en dresser le bilan avec ses points positifs tout comme négatifs. 

 

Dans un premier temps, j’ai énormément appris sur le plan professionnel, j’ai découvert au fil des semaines le poste de coordinateur, un poste aux tâches multiples, diverses et variés. J’ai eu la chance d’être considérée comme une employée à proprement parlée dans l’entreprise et non pas comme une stagiaire. J’ai vu une progression et une évolution constante dans mon travail, et ce stage a conforté mon idée de poursuivre une carrière professionnelle dans le secteur du tourisme d’affaires et d’évènements.

 

D’un point de vue culturel, j’ai côtoyé au quotidien des personnes de toutes nationalités : malaises, chinoises, indiennes, ou encore népalaises. Le dépaysement fut total, et j’ai pu apprendre beaucoup de ces différences interculturelles ; de la langue, aux habitudes alimentaires, en passant par leurs façons d’être, de penser, ou encore de travailler ; des découvertes toutes aussi enrichissantes et intéressantes les unes que les autres.

 

Ma principale difficulté a vraiment été la barrière de la langue ou plutôt un anglais local très particulier, une étape que j’ai eu beaucoup de mal à franchir.

Un vrai blocage psychologique qui s’est avéré très handicapant les premières semaines, pour répondre au téléphone ou réaliser mon télémarketing.

 

Et pour la suite ?

 

En termes d’avenir professionnel, ce stage m’a permis de conforter mon choix quant à ma carrière future.

 

En effet, j’ai toujours pour projet d’évoluer dans le tourisme d’évènements et d’affaires car il s’agit d’un secteur qui me passionne et dans lequel je pense pouvoir pleinement m’épanouir.

 

Dans l’idéal je souhaiterais trouver un poste où le contact et client et l’interaction sont davantage présents.

 

J’ai pu grâce à cette expérience prendre conscience des nombreuses opportunités professionnelles présentes en Asie, et j’envisage d’y revenir dans quelques années.

           

Pour les mois à venir, je désire dans un premier temps me tourner vers une agence évènementielle française ou rester si l’occasion se présente dans le groupe Accorhotels.

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